La France adopte les plaques d’immatriculation… roses ! Pourquoi cette mesure choc ?

Je vous avoue que quand j’ai entendu la nouvelle, j’ai cru à une fake news générée par une IA mal calibrée. Figurez-vous que non ! C’est on ne peut plus officiel : d’ici 2026, si vous croisez une voiture avec une plaque d’immatriculation rose vif, ce ne sera pas le résultat d’un tuning douteux, mais bel et bien une mesure gouvernementale ultra-sérieuse.

Le Rose, le nouveau Blanc anti-fraude

Alors, pourquoi cette couleur flashy, qui tranche radicalement avec le blanc-fondamental de nos autos ? La réponse tient en un mot : fraude.

Actuellement, les plaques provisoires (WW pour les véhicules importés, W pour les professionnels de l’auto) sont quasiment indistingables des plaques définitives.

Le problème, c’est que certains usagers mal intentionnés continuent de les utiliser bien après leur date d’expiration, les revendent, ou pire, les utilisent pour commettre des infractions.

Le résultat est qu’on se retrouve avec des amendes injustifiées ou des usurpations d’identité compliquées à démêler. Un vrai cauchemar bureaucratique et personnel.

Le gouvernement a tranché dans le vif avec le rose qui rend ces plaques immédiatement identifiables par les forces de l’ordre. On parle d’un marquage visuel fort pour environ 1% du parc automobile (39,3 millions de véhicules). C’est simple, c’est radical, et c’est surtout la promesse d’une meilleure traçabilité.

On verra bien ce que cela donne mais en tout cas c’est un excellent exemple de la façon dont un changement purement physique peut avoir un impact énorme sur la sécurité numérique et légale. C’est la tech de la « visibilité immédiate » appliquée au code de la route.

Je pense qu’il faudra un petit temps d’adaptation, mais si ça me permet d’éviter une amende pour excès de vitesse que je n’ai pas commis, je dis « bienvenue au rose ! »

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