Motorola moto X 2014 : un bon smartphone sous Lollipop mais pas Xtra non plus [Test]

0
Motorola moto X 2014 : un bon smartphone sous Lollipop mais pas Xtra non plus [Test]

En dehors d’un design et d’une fiche technique que nous pouvons comparer avec ceux des smartphones concurrents, il y a autre chose à savoir sur le moto X 2ème génération. Tout d’abord, il prend la succession d’une version qui a été appréciée aussi bien par le public que par les professionnels. Ensuite, il hérite d’un concept mis en place aux États-Unis pour le moto X première édition mais qui est apparu en France seulement avec cette nouvelle édition 2014 : le Moto Maker. Vous êtes dans la même situation que si vous alliez acheter une voiture neuve : depuis le site web du constructeur, vous concevez votre propre smartphone (couleur, matière, personnalisation). Mais à part ça, cette nouvelle édition peut-elle se distinguer d’un smartphone d’une autre marque ? C’est à travers ce test que je vais essayer de répondre à cette question.

Package

Le smartphone est livré dans une boîte blanche en carton assez rigide ornée du M de Motorola (couleur bleu) en plein milieu et du nom du modèle, moto X, en bas. On retrouve cette même mention sur le côté gauche de la boite. Sur la tranche du haut, la boite est décorée d’un motif représentant des losanges de différentes nuances de bleu. De l’autre côté, on trouve les mentions standards dont le nom du modèle (Moto X 2nd Generation) et sa référence (XT1092). Sur le dessous de la boite, rien de particulier à part un nouveau logo M bleu.
Voyons voir ce que nous trouvons en ouvrant le coffret : le smartphone, un guide de prise en main rapide, un kit mains libres (comprenant des oreillettes intra-auriculaires et une télécommande), un adaptateur secteur et un poussoir pour extraire le tiroir de la carte Sim. La bonne surprise est que l’adaptateur secteur permet de connecter deux câbles USB. Je n’ai pas encore une grande expérience des tests mais c’est la première fois que je vois ça et c’est plutôt une bonne surprise même si on en a pas l’utilité avec un seul smartphone. Par contre, dans ma boite, pas de câble USB. Je pense que c’est un oubli et ce n’est pas trop grave car le plus important est d’avoir l’adaptateur secteur.

Description

Le modèle prêté par Motorola est noir, aussi bien sur la face avant que sur l’arrière, avec sa texture en cuir. Seules les tranches sont en métal. Sur la façade avant, dans la partie haute, on trouve une led de notification, la grille du haut parleur (pour les appels) qui ressort par rapport au reste de la surface, puis, sur la droite, le capteur frontale. En l’allumant, on se rend compte qu’il y a également une led juste au-dessus du haut parleur. Au-dessous, c’est l’écran de 5,2″ qui prend pratiquement toute la place même si des bordures plus fines auraient été bienvenues. Sous cette dalle se situe la grille du deuxième haut parleur (mains-libres et multimédia). Concernant les tranches, celle de gauche ne contient aucun élément alors que de l’autre côté viennent se positionner le bouton power et ceux du volume, tous les deux accessibles sans avoir à repositionner la main. Comme la plupart des smartphones, la prise USB est présente dans la tranche inférieure et la prise casque sur le côté opposé.

20150122_Motorola_moto_X_02

20150122_Motorola_moto_X_07

Le dos du smartphone est légèrement bombée et est recouvert de cuir, noir dans mon cas. Cela donne un certain cachet mais par contre, la matière marque beaucoup.

20150122_Motorola_moto_X_05

Sur cette même façade, le capteur principal, imposant par sa taille, prend positon dans la partie haute. Ses dimensions semblent importantes car le double flash est « intégré » à cette zone en forme de cercle. En fait, on aperçoit un flash de chaque côté du capteur, ce qui le distingue de la plupart des smartphones testés où le flash est positionné à part. Sous l’APN, Motorola a incrusté, dans la coque, un cercle contenant un M de Motorola. Cela aurait pu servir à quelques chose (comme les « rear buttons » du G3) mais ce n’est que purement décoratif et personnellement, je ne trouve pas cela très esthétique.

20150122_Motorola_moto_X_01

De manière globale, je trouve que la face avant est trop classique : toute noire avec des angles arrondis. Heureusement, il y a les grilles en métal qui contrastent avec le reste. Ensuite, les tranches et l’arrière donnent un peu de charme et renvoient une image de smartphone haut de gamme. Concernant le finitions, il n’y a rien à dire : aucun jeu sur les boutons et Motorola a même ajouté une touche personnelle sur le bouton power. Ce dernier est strié, ce qui permet de le distinguer plus rapidement de la barre de volume située juste au-dessous. Il y a un point que j’ai apprécié même s’il n’est pas primordiale : le tiroir Sim. Tout d’abord, ce dernier s’éjecte très bien grâce au poussoir (à l’effigie de Motorola) fourni dans la boîte. Ensuite, il n’y a aucune résistance et le tiroir parait bien solide. De plus, sa conception fait qu’on comprend de suite comment placer la carte Nano Sim. Cela change du Xperia Z3 sur lequel il faut extraire manuellement le tiroir après avoir ouvert le cache ou encore du HTC Desire Eye où le cache ne transpire pas la solidité. Dernier point : ses dimensions et la diagonale de son écran, limitée à 5,2″, font que le smartphone tient bien en main et qu’il est entièrement manipulable d’une seule main.

Caractéristiques

Le moto X tourne grâce à un processeur Snapdragon 801 qui fait équipe avec une puce graphique Adreno 330, 2Go de mémoire vive et 16Go d’espace de stockage, malheureusement pas extensible. De plus, dans cet espace de stockage, moins de 11Go sont réellement disponibles pour l’utilisateur. Motorola a équipé son smartphone d’un écran Full HD de 5,2″ revêtu d’un traitement Gorilla Glass 3. Son écran présente une bonne densité (423ppi) même si elle n’atteint pas celle des meilleurs. Pour la photo, nous pourrons compter sur un premier APN de 13Mpx muni d’un double flash led et capable d’enregistrer des vidéos en 4K. Le deuxième, pour les selfies, se limitera à une résolution de 2Mpx. Son utilisateur pourra profiter de ses différents « modules » Wifi, BT, USB2 et de sa puce 4G pour se connecter partout. Pour finir, il est alimenté par une batterie de 2300mAh et tourne sous Android 4.4.

Interface et applications

Un rapide aperçu sous Android 4.4 avant une mise à jour sous Android 5.0

Au premier démarrage, je découvre un smartphone sous Android 4.4 dont l’interface est identique à celle des smartphones Moto G et Moto E testés il y a quelques mois. Il s’agit tout simplement d’une version Android stock, c’est à dire sans aucune surcouche. Pour rappel, le noir est la couleur prédominante de cette version Kit Kat sur les différents Motorola testés.

20150122_Motorola_moto_X_15

Finalement, cela ne dura pas longtemps car à la première connexion wifi, il me proposa une mise à jour. Quelle surprise, au redémarrage, je me retrouve avec Android 5 Lollipop. L‘interface prend des couleurs, ce qui est appréciable et correspond à celle déjà décrite sur la Nexus 9 testée ici.

Dans la partie haute, on retrouve la barre Lollipop qui, avec un mouvement vers le bas, affiche les différentes notifications. Un clic sur cette barre ou un deuxième mouvement vers le bas présente un écran plus complet rendant accessible quelques raccourcis dont la gestion de la luminosité, le wifi, le bluetooth mais aussi la lampe torche et la rotation de l’écran. L’affichage de cette fenêtre modifie également la barre de notifications en faisant apparaître le raccourci vers le menu Paramètres ainsi que le % de charge restante (pour la batterie).

20150122_Motorola_moto_X_19

La partie centrale de la page Home contient, par défaut, un dossier regroupant les applications Google. A part ça, rien d’autre que la barre de programmes située tout en bas. Elle peut contenir au maximum 4 raccourcis en plus de celui permettant de basculer vers la liste ses programmes installés sur le smartphone.
Pour le reste de l’écran, il est dommage de ne pouvoir modifier la grille pour définir le nombre de raccourcis à afficher. Sur le moto X, les raccourcis sont assez gros et la grille n’en autorise que 4 en colonne et le même nombre en ligne. Cette limite est également due à la barre de recherche Google (widget non modifiable). Enfin, quand on clique sur le raccourci centrale pointant vers les programmes, une nouvelle fenêtre vient se positionner par dessus et présente les applications sur une grille de 4 icônes sur 5 sur un fond blanc (une ligne de plus par rapport aux autres écrans).

20150122_Motorola_moto_X_16

Dans la partie basse de l’écran, on trouve trois icônes non modifiables : Retour, Home et Multitâches (de gauche à droite). Le bouton Retour peut être amené à se transformer en « Réduire » dans le cas où vous saisissez du texte, pour faire disparaître le clavier. Lors de la saisie de textes, un icône en forme de clavier apparaît en bas, à l’extrémité droite. Il permet de sélectionner le type de clavier.

Sur l’écran verrouillé, si vous n’avez pas défini de sécurité (attention, ce n’est pas conseillé), vous pouvez visualiser les notifications et les ouvrir directement. Elles apparaissent sous forme de cartes, à la sauce Google Now, et en cliquant dessus, elles s’illuminent pour indiquer leur sélection. En cliquant une seconde fois dessus, l’application concernée s’ouvre et vous présente l’information.

20150122_Motorola_moto_X_20

Depuis cette même page verrouillée, en bas de l’écran, on trouve 3 raccourcis permettant de déverrouiller le smartphone et d’accéder à l’une des fonctions. De gauche à droite, on visualise la fonction Téléphone afin de basculer vers l’interface de numérotation ou de recherche d’un contact, le cadenas pour simplement déverrouiller le smartphone et pour finir, l’appareil photo pour accéder à son interface. Un appui long et un mouvement vers la droite, vers le haut ou vers la gauche permet d’accéder à la fonction correspondante à l’icône.

20150122_Motorola_moto_X_21

J’en profite pour aborder une dernière petite chose que j’ai noté en éteignant le smartphone : seule la fonction « Eteindre » est proposée lors d’un appui long sur le bouton Power. Sur les autres marques, on a souvent accès à un menu proposant diverses fonctions : Eteindre, Redémarrer, Mode avion,…Ce n’est pas grand chose mais dans le cas où vous souhaitez redémarrer la bête, il faut effectuer plus de manipulations.

Des applications Motorola également redessinées

Même si nous sommes en présence d’un smartphone sous Android pur, Motorola le fournit, en standard, avec quelques applications spécifiques dont certaines sont déjà connus des utilisateurs de smartphones Motorola. On leur lister Migration qui permet de transférer ses données depuis ou vers ce smartphone. Dans le cas de l’acquisition du moto X, c’est la deuxième solution qui nous intéresse en sachant que le traitement est réalisable, en quelques étapes, depuis un smartphone Android, iOS ou autre.

20150122_Motorola_moto_X_23

Ensuite, Connect permet de mettre en relation votre moto X avec d’autres « systèmes » dont la Moto 360 ou encore Chrome avec lequel vous pourrez accéder à l’historique des appels et des SMS (avec la possibilité d’y répondre). C’est vraiment très pratique et cela évite d’installer des applications tierces.

20150122_Motorola_moto_X_22

Enfin, il y a l’application Moto qui offre des fonctions supplémentaires au smartphone et qui apprend de votre utilisation. Cela va de la gestion de différents modes (mode Sommeil ou Réunion par exemple) à la commande par gestes (mouvement de poignet pour démarrer l’appareil photo) en passant par un écran qui se « réveille » quand on l’approche en affichant une page noire comprenant uniquement quelques éléments, afin de limiter la consommation de la batterie : un cadenas au centre et le(s) raccourci(s) vers les éventuelle(s) application(s) dans la partie haute. Un mouvement du cadenas vers l’application permettra de la lancer et de visualiser l’information. Un mouvement vers le bas permet de déverrouiller le smartphone.

20150122_Motorola_moto_X_2

Performances

A la lecture de sa fiche technique, le moto X devrait, malgré le fait qu’il n’héberge pas les composants les plus récents, pouvoir exécuter n’importe quelle application sans difficulté, sans pour autant surpasser ses concurrents. Maintenant, la théorie doit se confirmer « sur le terrain ».

20150122_Motorola_moto_X_18

Au final, dans la pratique, c’est encore mieux que ça. Je le dis quand même avec une certaine retenue car, dans un premier temps, ces résultats proviennent de benchmarks mais ça annonce la couleur. Le moto X affiche un résutat de 46 182 sur AnTuTu 5.6, ce qui correspond à la 3ème place après le Meizu MX4 et le Samsung Galaxy Note 4 (classement de l’application). Je pense qu’il n’y a pas grand chose à ajouter, à part, « Félicitations ! ». Je me suis permis de comparer ses scores avec ceux de certains hauts de gamme testés dans l’année. Sur les quelques thèmes sur lesquels le moto X se fait battre, c’est le plus souvent avec seulement une petite avance.

20150122_Motorola_moto_X_24

Concernant l’utilisation normale, le moto X s’est toujours montré véloce et réactif (lancement des applications, navigation, passage d’une application à une autre via le multitâche). De ce côté, il fait vraiment bien ce qu’on lui demande et rien ne lui résiste malgré les nombreuses applications lancées en arrière plan. Côté jeux, il s’en tire très bien également et à part un lag en 15 courses sur Real Racing 3 et quelques ralentissements lors de séquences de jeux sur Godfire, je n’ai pas ressenti de gènes et je me suis bien amusé.  Par contre, la version 16Go a un inconvénient : le manque d’espace disponible. En installant quelques applications et des jeux récents, vous arriverez vite à la limite du smartphone.

Photo

L’interface est, malgré l’absence de boutons apparents, très simple. Un glissement vers la gauche permet de basculer vers la galerie de photos tandis qu’un mouvement dans l’autre sens vous affiche un carrousel des fonctions et paramétrages. Pour le déclenchement d’une photo, deux possibilités s’offrent à vous : un clic sur l’écran ou un clic sur le bouton de volume. Dans ce dernier cas, la mise au point s’effectue juste avant la prise de la photo. La seule fonction que j’ai cherché un peu plus longtemps est le zoom. Il ne peut se faire à l’aide des boutons de volume car ils sont déjà utilisés et ne se fait pas non plus par pincement sur l’écran. Il faut effectuer un mouvement vers le haut ou le bas directement sur l’écran.
L’APN réagit rapidement, ce qui est appréciable. Cela change de la méthode utilisée habituellement mais cela fonctionne, alors pourquoi pas. Cela semble juste un peu moins intuitif mais c’est une question de conduite au changement, il faut s’y habituer, c’est tout. Si j’avais été un peu plus patient, j’aurai pu cliquer sur l’icône en forme de point d’interrogation. Ce dernier, correspondant à l’aide qui explique tout cela. On apprend qu’un clic prolongé sur un des déclencheurs prend une série de photos. Pour tester, je suis resté appuyé quelques secondes : 35 photos ont été prises sans broncher et je précise que c’est moi qui ai lâché le bouton.

Le carrousel permet de configurer les options habituelles telles que la résolution des modes photos et vidéos (par défaut en 16:9 à 9Mpx pour la photo et en HD pour la vidéo), le flash, le contrôle de la mise au point et de l’exposition ou encore le retardateur. Depuis cette interface, il n’est pas possible d’appliquer des effets avant la prise de photos. Ce n’est pas plus mal car cela aurait pu alourdir une interface bien épurée. Ne vous inquiétez pas, vous pourrez jouer l’artiste mais en partant d’une des photos de votre galerie. Vous y trouverez toute la palette d’outils nécessaire : effets (intense, vintage, N&B, rayons-X), cadres, transformation (rogner, redresser, miroir) ou options (colométrie, exposition, ombre, contraste). Depuis un icône présent en haut à droite ou depuis le menu « Appliquer les effets », vous pouvez toujours décider d’enlever un des effets sélectionnés précédemment.

20150122_Motorola_moto_X_26

Concernant le capteur frontale, par faible luminosité, il a vraiment du mal : l’image saccade et il devient difficile de bien cadrer, surtout avec un enfant dans les bras. Par contre, le déclenchement de la photo est très rapide voire quasiment instantané. C’est appréciable. Au final, le résultat n’est pas génial : la qualité n’est pas bonne et les couleurs sont ternes mais l’APN est parvenu à capter assez de lumière pour bien voir les sujets pris en photo.

Concernant l’APN principal, il bénéficie du même point fort : la rapidité du déclenchement permet d’obtenir des photos nettes. Par contre, la mise au point, même quand le point visé est défini manuellement, n’est pas top. C’est un point que j’avais également déjà relevé sur les autres Motorola testés. Les couleurs sont fidèles mais il faut parfois jouer avec les options ou le mode HDR pour obtenir une meilleure luminosité.

20150122_Motorola_moto_X_08

20150122_Motorola_moto_X_09

20150122_Motorola_moto_X_13

Concernant les vidéos, les quelques traitements possibles sont également disponibles a posteriori depuis la galerie . Il devient possible de rogner la vidéo, de couper le son mais également d’éditer un ralenti. Par contre, l’enregistrement de la vidéo intégrant le ralenti n’est pas disponible si la vidéo provient du capteur frontale.

La dernière fonction, Meilleurs moments, qui rappelle celle présente sur les HTC (HTC Zoé), permet, depuis la galerie, de sélectionner les meilleures photos et vidéos pour les compiler et générer un clip de vos meilleurs moments. En quelques clics, le moto X vous génère le clip que vous pouvez pre-visualiser tout en définissant les options. Vous pouvez définir la durée (en jouant sur une timeline) les photos ou vidéos à supprimer du clip (parmi celles sélectionnées initialement) et la musique de fond (ou sans musique). La dernière étape consiste à saisir le titre et la qualité (SD ou HD).

20150122_Motorola_moto_X_25

Batterie

Lors de ma première bonne journée d’utilisation (18h allumé), le moto X affichait une batterie restante à 33%. Selon le menu Paramètres, il me restait encore 8h, ce qui me donne un peu plus d’une journée si on le l’éteint pas. Après une dizaine de jours d’utilisation, je suis arrivé à le faire tenir presque 1,5J mais sans trop le solliciter et une seule fois. Si vous regardez des vidéos ou si vous jouez, la batterie va vite perdre de sa superbe et vous risquez d’être limité à un journée, voire moins. A titre d’exemple, une partie de Real Racing d’un peu moins de 20min m’a fait perdre 10% de batterie. Le smartphone révèle de bonnes performances mais qui ont un impact non négligeable sur son autonomie. Motorola aurait peut-être dû l’équiper d’une batterie de capacité plus importante.

20150122_Motorola_moto_X_27

Conclusion

Avec un prix de départ à 479€ , au lieu de 539 € (depuis le site web), Motorola nous propose un bon smartphone présentant de belles performances avec un design grandement personnalisable. Au quotidien, il est rapide, réactif et son OS récent (Android 5.0 Lollipop) lui apporte des couleurs et plus d’options tout en corrigeant, à mon goût, un menu général qui était trop sombre sur la version précédente. Malheureusement, il présente également quelques points faibles : une version 16Go trop juste, une batterie pas assez dimensionnée et un mode photo décevant.

LAISSER UN COMMENTAIRE

Merci de saisir votre commentaire
Merci d'entrer votre nom ici

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.